Tout plutôt qu’un vrai boulot — Tex Cobb (42-7-1)

Culture Boxe

Le 13 novembre 1992, Evander Holyfield concédait la première défaite de sa carrière face à Riddick Bowe pour le titre de champion du monde des lourds. Il avait 30 ans et une retraite anticipée n’aurait choqué personne.

18 ans plus tard, The Real Deal (45 victoires dont 28 KOs, 10 défaites et 2 nuls) est encore dans la place, bien disposé à récupérer une ceinture mondiale avant de penser à raccrocher les gants.

Volé par les juges après une performance étonnante face au géant russe Nikolaï Valuev fin 2008, il a rebondi en dominant un François Botha au bout du rouleau l’année dernière.

Aujourd’hui, Holyfield surfe sur sa notoriété d’ancien champion pour tenter de se poser comme une alternative crédible aux Klitschko ou à David Haye.

Holyfield est un type assez inquiétant. On l’imagine mal quitter les rings victorieux. Pas question de raccrocher tant que la victoire – ou la défaite honorable – sera au rendez-vous.

Too brave for his own good

NZ

Des nouvelles de l’inusable Evander Holyfield

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