La décadence de la République de Weimar, la barbarie nazie, les invitations à dîner du Führer et les remontrances de Goebbels, les deux combats contre Joe Louis, la Seconde Guerre mondiale et les purges d’après-guerre… Max Schmeling aurait pu finir groggy, abandonné de tous dans les poubelles de l’histoire. Il a pourtant réussi l’exploit de sauver sa peau. Et son âme ? On peut dire, et ce n’est pas rien, qu’il a largement limité les dégâts.
On a dédié cinquante minutes à l’ami allemand sur le Poste Général avec mon gars sûr Herr Felix. Respect au King Malone qui a atténué les désagréables bruits de fond dus aux travaux des vilains voisins.
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